Verdunois depuis 1984!

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Jean-François Guay

Bienvenue / Welcome

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Au fil du temps!

Mes histoires d'amour de 1984 à aujourd'hui

On dit qu’une image vaut mille mots!  Sur cette page, j'y dépose des photos de toutes les époques de ma vie qui marque l'engagement profond et sincère envers les gens et la communauté qui m'a accueillis en 1984, Verdun.  Verdun, l'endroit où le potentiel s'exprime et où les rêves se réalisent!

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Le hockey à l'AMH Verdun (1984 à aujourd'hui)

Le hockey, ma première passion!

Je suis arrivé à Verdun le 1er juillet 1984. Mon père, grand amateur de hockey, a eu la brillante idée de m’inscrire au hockey dès septembre de la même année. Je suis tombé amoureux de ce sport instantanément!
J’y ai évolué comme joueur de 1984 à 1998.

En 1998, l’A.M.H. Verdun a organisé un concours pour trouver le nom de sa nouvelle mascotte. Le nom Palouf m’est venu en tête, et c’est encore la mascotte officielle aujourd’hui!

Depuis octobre 2023, j’ai eu la chance d’arbitrer plus de 250 matchs pour l’association. Avec mon fils Emile, nous sommes devenus le premier duo père-fils à arbitrer un match ensemble à Verdun.

J’ai aussi joué quelques années au baseball mineur de Verdun, et depuis cet été, j’y arbitre également.

L'école primaire Chanoîne-Joseph-Théorêt (1984-1990)

Ah! Les fameuses photos d’école!
Je me souviens encore du chemin de la ruelle que j’ai emprunté quelque part en août 1984. Ce jour-là, je n’étais pas très courageux. Par cette belle journée de fin d’été, ma mère m’a laissé partir seul vers ma première année. Je pleurais.

Mais ces premiers pas, aussi difficiles soient-ils, m’ont permis de rencontrer des amis que je revois encore aujourd’hui, ainsi que des éducateurs qui ont marqué mon enfance — et celle de centaines de jeunes Verdunois.

Aujourd’hui, je pense à mon professeur de 5e année, Alain Lacharité, à Monique Brunet, ma professeure de 6e, et à l’inoubliable professeur de gymnastique, Gilles Cadieux, d’une gentillesse incomparable... même quand il nous faisait passer le maudit test du 500 mètres!

J’ai connu deux directeurs dans cette école : M. Gilles Castonguay et M. André Houle.
Je me souviens aussi d’avoir animé la soirée Honneur et Mérite de l’école en 6e année, ainsi que les éditions 100e et 101e de l’émission populaire de l’époque, Au Jeu, de Radio-Canada, dans le gymnase de l’école! Quels souvenirs!

L'École Secondaire Mgr-Richard (1990 à 2005)

Les premiers pas vers la vie de jeune adulte!

Le passage au secondaire est une étape marquante de nos vies. Pour ma part, elle le fut d’autant plus, puisque j’ai même choisi d’y travailler pendant sept ans, de 1998 à 2005.

J’ai fréquenté l’ESMR comme étudiant de 1993 à 1995. Ce n’était pas une école secondaire comme les autres. C’était une école vivante, passionnante et colorée! Animée par Laurent Dugas, qui en deviendra le directeur en 1996, cette école aux multiples projets rayonne dans la communauté verdunoise depuis 1976. Les anciens de cette époque vous parleront avec émotion de la fameuse PMR!

Tous les événements de l’école ont forgé son histoire et sa réputation. Comme étudiant, j’ai eu la chance de participer à la célèbre Classe-Neige à l’auberge du P’tit Bonheur, au grandiose spectacle de mode de fin d’année, et en décembre 1994, j’ai même été élu M. Élégance de l’école!

Plusieurs enseignants ont profondément marqué mon parcours : André Morse, Luc Guèvremont, Denis Bellemare, Francine Taddeo, entre autres, m’ont inspiré par leur enseignement et leur engagement envers la vie scolaire. Cette vitalité a éveillé en moi le goût de m’impliquer dans un milieu de vie qui m’a fait vibrer dès les premiers instants.

En 1996 et 1997, j’y suis retourné comme ancien élève pour m’impliquer bénévolement dans les événements, tout en rêvant secrètement d’y travailler comme technicien en loisirs. En 1998, la vie a bien fait les choses! Bien que je ne détenais pas encore le diplôme de technicien en loisirs, un poste s’est libéré, et le directeur de l’école, Laurent Dugas — qui deviendra mon mentor — m’a offert l’opportunité de relever ce défi, avec son soutien.

J’ai saisi cette chance unique, qui m’a permis de découvrir les rouages de l’organisation d’événements et de m’ouvrir à la richesse de la communauté verdunoise. En juin 2001, j’ai eu l’immense honneur de recevoir la plus haute distinction de l’école : le 60e Grand Prix Honneur et Mérite, lors de la 25e soirée des finissants. Ce prix, remis par la direction, est destiné à un élève, un parent, un bénévole, un enseignant ou un membre du personnel, en reconnaissance d’une contribution exceptionnelle au service de l’école. 

L'artiste, le chanteur (2001 à aujourd'hui)

JF, tu chantes? Je ne savais pas que tu chantais!

Comment devient-on chanteur quand personne dans sa famille n’est, de près ni de loin, musicien? On dit souvent que les plus belles découvertes sont le fruit du hasard… ou d’un accident. Eh bien, vous avez votre réponse!

Au début des années 2000, j’étais technicien en loisirs à l’ESMR. À l’époque, une tradition voulait que, lors de la fête de Noël, les élèves chantent le fameux Minuit chrétien. Cette tâche revenait chaque année au grand Edner Bruno, enseignant de français en 5e secondaire. Mais quelque part en 2001, Edner prend sa retraite. Il fallait bien quelqu’un pour le remplacer!

Bien que j’étais déjà à l’aise devant un public pour animer, je n’avais aucune idée du potentiel musical qui sommeillait en moi. Le directeur de l’époque, Laurent Dugas, me convoque dans son bureau… quelques jours seulement avant le spectacle. Il me dit :
— C’est facile, on mettra une trame sonore, tu chanteras par-dessus et tu feras chanter les élèves.
— Euh… ok.

Comme j’ai l’habitude de ne pas reculer devant les défis, j’accepte. Le jour venu, je m’exécute… et ça se passe plutôt bien! Mes amis, qui avaient un band et qui montaient des numéros musicaux avec les élèves, sont agréablement surpris :
— Ça sort d’où, cette voix-là, JF?

Étonné par leurs commentaires, je ne sais trop quoi leur répondre. Ils m’invitent à devenir le chanteur de leur groupe. Rapidement, on forme un band hommage à mon groupe favori : U2. Et c’est là que l’aventure commence!

Pour me perfectionner, j’entreprends une formation en chant populaire de deux ans à l’école Prochant de Montréal. Chant, interprétation, théâtre, comédie musicale, mise en scène, production… tout y passe! J’y apprends les techniques de chant populaire pour ténor avec Jacques Lebel, chanteur du Boogie Wonder Band.

Les projets s’enchaînent : un premier spectacle solo, des performances à l’école avec les élèves (eh oui, je suis toujours technicien en loisirs à l’ESMR à ce moment-là). Et avec mes talents de vendeur, je propose à la Ville de Verdun que nous fassions la première partie du spectacle de la Saint-Jean 2004… et ça fonctionne! Nous faisons la première partie de Daniel Bélanger.

En novembre de la même année, Grégory Charles vient performer à l’Église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs. Je fais la même demande à l’organisation… et encore une fois, ça marche!

À l’école Prochant, une comédie musicale est montée tous les deux ans. Cette année-là, c’est Chicago. J’auditionne pour le rôle principal et je décroche celui de Billy Flynn. Je participe aussi à plusieurs concours de chant où je remporte des prix : Les Découvertes de la chanson de Magog, Chante en français (Fondation DO-MI-SOL), le Festival en chanson de Saint-Ambroise.

Je joue aussi des rôles principaux dans deux autres comédies musicales : Christian dans Moulin Rouge et Bartok dans Noémia, une création québécoise jouée pour la première fois au cégep André-Laurendeau en 2008.

Puis, la vie prend une nouvelle direction : l’envie de fonder une famille prend le dessus sur la « carrière » de chanteur. Je mets tout ça sur pause… jusqu’en 2023, où je reprends la scène avec un spectacle annuel à l’Église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs.

Et pour boucler la boucle, à la messe de minuit de 2024, on m’a proposé de chanter… Minuit chrétien.

Voilà comment, un peu par accident, je suis devenu chanteur — quelque chose que je n’aurais jamais cru possible dans ma vie. Comme quoi, il faut parfois oser sortir de sa zone de confort pour découvrir et développer son véritable potentiel.

Le Messager de Verdun (TC Média 2010-2020)

Le Messager de Verdun, un endroit naturel pour moi de s'y retrouver!

En même temps que mes études en chant populaire, j’ai eu la chance de travailler avec un consultant pour le Cirque du Soleil sur des projets de planification de tournées internationales pour des spectacles présentés en aréna. Lorsque le contrat a pris fin, j’ai eu envie d’entreprendre des études en cuisine professionnelle, que j’ai terminées en juin 2010. Je l’ai fait davantage par curiosité pour le monde de la cuisine que dans l’objectif de travailler à temps plein dans ce domaine. C’est le savoir-faire qui m’attirait.

À la fin de ce DEP, je devais me trouver un emploi afin de stabiliser ma situation, avec en tête l’envie de fonder une famille. Une connaissance chez TC Média (Média Transcontinental) m’a alors parlé de postes disponibles au sein de l’entreprise, principalement des postes de représentants en publicité pour les journaux locaux. J’avais des doutes sur ma capacité à être un bon vendeur et ma connaissance du domaine était plutôt limitée. J’ai donc accepté un premier poste comme coordonnateur aux ventes pour les journaux de l’ouest de l’île de Montréal (Cités Nouvelles et The Chronicle).

Mais rapidement, mon cœur et mes racines me ramènent vers Le Messager de Verdun, évidemment! Après une seule semaine, mes collègues me prédisent déjà un court passage au bureau et une affectation prochaine sur le terrain. Effectivement, huit mois plus tard, on m’approche pour devenir le représentant officiel de La Voix Pop, le journal voisin du Messager de Verdun. Je plonge alors dans l’aventure, tête première.

Mes patrons reconnaissent rapidement mes liens avec la communauté verdunoise et n’hésitent pas à me transférer certains clients de Verdun en plus de ceux que j’ai déjà dans le Sud-Ouest. J’obtiens rapidement du succès en vente. J’ai même gagné une voiture lors d’un concours national de ventes regroupant tous les représentants du Québec et de l’Ontario. L’année suivante, je suis nommé recrue de l’année, et le journal pour lequel je travaille remporte le prix de l’Hebdo de l’année au Gala Folio du groupe TC Média.

En 2012, Le Messager de Verdun célèbre son 100e anniversaire. Je participe bénévolement à l’exposition estivale à l’église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs en créant, à l’aide de Photoshop, 40 tableaux d’archives exposés tout l’été, puis plus tard présentés au salon Verdun Luv.

En 2015, on me propose le poste de directeur des ventes pour l’ensemble du Sud-Ouest de Montréal. Une belle opportunité de développer un réseau dans la communauté, de me joindre à plusieurs entités locales et d’en découvrir les enjeux.

En 2017, en collaboration avec le Réseau Affaires Verdun et son président, Alain Laroche, nous réalisons ensemble une publication historique conçue, coordonnée et imprimée chez TC Média : Verdun 1992-2017, 25 ans de développement. J’aurai même le privilège d’animer le lancement officiel à l’hôtel de ville de Verdun.

Aujourd’hui, je réalise que mon passage chez TC Média s’inscrit naturellement dans la continuité de mes engagements dans la communauté verdunoise. Cette expérience a contribué à créer de nouveaux liens avec les acteurs du milieu, à resserrer ceux qui existaient déjà et à élargir mon réseau dans tout le Grand Sud-Ouest de Montréal.       

Implication sociale (1984 à aujourd'hui)

Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir.

Très jeune, la notion de bénévolat nous a été inculquée par nos parents. À l’école primaire, même si on n’aimait pas trop se lever plus tôt que d’habitude, nous étions bénévoles le matin pour préparer les berlingots de lait destinés à chacune des classes de l’école.

Par la suite, grâce à mon emploi de technicien en loisirs à l’ESMR, j’ai participé comme technicien et organisateur à plusieurs soirées de financement tenues à l’école. Alors je donne de mon temps à la Fondation Jean-Jacques Mercier, au Triathlon de Verdun, et je me suis impliqué bénévolement auprès de candidats lors des élections municipales à Verdun.

Quand j’ai joint les rangs de TC Média, on m’a suggéré de m’impliquer au sein du Club Richelieu, un mouvement dont la mission est d’aider les enfants défavorisés et de promouvoir la langue française. J’ai adoré l’expérience. La cause est noble, et les activités sont aussi enrichissantes que divertissantes.

De 2017 à 2020, j’ai été élu président du Club Richelieu Verdun. Durant mon mandat — et surtout grâce à l’engagement remarquable des membres — le Club a rayonné au sein du mouvement international, décrochant le prix du Club performant de l’année 2019 lors du 75e congrès Richelieu à Ottawa. À ce jour, le Club Richelieu Verdun a redonné près de 2 000 000 $ pour soutenir les jeunes verdunois, grâce à sa fondation créée en 1976.

D’autres expériences bénévoles font aussi partie intégrante de mon parcours. Je suis toujours activement engagé auprès du Club Lions de Verdun et de l’église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs. J’ai aussi siégé à divers conseils d’administration, notamment ceux du Réseau Affaires Verdun, de la Chambre de commerce et d’industrie du Sud-Ouest de Montréal, de la Fondation Champlain et Manoir de Verdun, ainsi que de la Fondation du Cégep André-Laurendeau.

En 2017, j’ai eu l’honneur d’être coprésident d’honneur lors d’un dîner-bénéfice pour la Fondation de l’Institut Douglas, où nous avons amassé 5 000 $. La même année, j’ai également été coprésident d’honneur du Grand Bal de la Fondation de l’Hôpital de Verdun, événement au cours duquel nous avons recueilli 77 400 $.

Toutes ces expériences m’ont permis de comprendre que redonner et partager est non seulement une richesse pour les autres, mais aussi un bienfait profond pour soi-même.

Mélange d'aventures et de réalisations personnelles (1984 à aujourd'hui)

Verdun, une ville d'opportunités!

À travers les années, j’ai eu la chance de participer à plusieurs événements au cours desquels j’ai rencontré des personnes issues de divers milieux qui ont influencé mon parcours. Ces gens m’ont donné le goût de me dépasser, et leurs mots d’encouragement tout au long du chemin ont été précieux pour ne jamais baisser les bras, même dans les moments difficiles.

Le parcours accompli au fil des ans, malgré son lot d’intempéries, a façonné la personne que je suis devenu aujourd’hui.

En janvier 2025, le Réseau Affaire Verdun, en collaboration avec le journal local Explore Verdun-IDS, m’a décerné le prix de la Personnalité d’affaires du mois. Une belle façon de souligner le chemin parcouru jusqu’ici, et une magnifique manière de commencer la nouvelle année, riche de nouveaux défis à l’horizon.

Reconnaître le travail de personnalités engagées à Verdun est une initiative inspirante qui perdure depuis plusieurs années. Voilà pourquoi les gens choisissent Verdun : un milieu dynamique, vivant et reconnaissant envers celles et ceux qui souhaitent s’impliquer collectivement.

La politique

Tous ces chemins mènent vers... la politique!

Après plus de 40 ans de vie active dans la communauté verdunoise, il est venu le temps pour moi de m’investir pleinement dans ce milieu où j’ai eu la chance de m’épanouir et de servir les citoyens dans notre milieu de vie.

Je suis une personne qui aime rassembler les gens autour d’une idée, d’un rêve, d’un projet. J’aime aussi être en mesure de les concrétiser ! Définir ce que sera demain est un défi excitant. Le faire en incluant le maximum de personnes et en travaillant pour le bien-être du plus grand nombre est un défi de taille auquel j’aimerais contribuer.

Travailler ensemble pour l’ensemble de la population représente une vision à laquelle j’adhère à 100 %.

Il est donc naturel pour moi de faire partie de l’Équipe Ensemble Montréal, dirigée par Soraya Martinez, et de tenter ma chance comme conseiller de ville dans le district où j’ai grandi, celui de Desmarchais-Crawford à Verdun.

Avec le parcours professionnel impressionnant de Geneviève Desautels, qui briguera la mairie de Verdun le 2 novembre prochain, nous sommes en mesure de former une équipe de terrain axée sur l’efficacité et portée par des priorités claires, mises de l’avant pour l’ensemble des citoyens.       


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